« Pleurer les morts est presque un luxe. », p. 51. « L’histoire des nations n’est pas un récit plein de fantaisies et d’ornements gracieux. Elle ne s’écrit pas à reculons. Elle ne commence pas par la fin. », p. 228. Boubacar Boris Diop se penche à nouveau sur les fausses indépendances, une (…)
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Ballades et escales en littérature africaine