Dans ce texte lu au café-littéraire Samandari du 13 juin 2013, le slameur Gaël Faye emprunte la plume d'un nouvelliste pour raconter la ville qui a accueilli son enfance, ses rêveries. Rentrer en ville. Retourner à Buja. Retrouver la maison. Voilà ce que l’on disait après plusieurs jours à « (…)
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