Vous pensiez que la chanson ultra-célèbre de Cesária Évora évoquait le mal du pays, la nostalgie des plages du Cap-Vert, de leur sable fin et de leur eau turquoise ? Eh bien pas tout à fait, car c'est plutôt la nostalgie de la liberté et de l'émancipation dont il est question. Olivier Besancenot vous raconte le combat anti-colonial qui se cache derrière les paroles et la mélancolie chantée par la « diva aux pieds nus ».
Continuer la lecture…
Site référencé:
Là-bas si j’y suis
Là-bas si j'y suis
Gaza : panser la plaie, penser la paix
19/10/2025
« Le Guide du droitard » spécial Bretagne
17/10/2025
Jean-Michel Blanquer et la liberté d'expression à géométrie variable
14/10/2025
« La lega », le chant des travailleuses du riz italiennes
13/10/2025
Bolloré va-t-il transformer « Le Guide du routard » en « guide du droitard » ?
12/10/2025
Gaza, les mômes dans les bras
11/10/2025