« Le juge devra se demander si la victime a eu la liberté de dire non »
Un groupe de travail composé de juristes et avocates s’est réuni autour de l’idée de définir juridiquement un consentement féministe et de l’intégrer à la définition du viol. Frédérique Pollet-Rouyer, avocate auprès des victimes de violences masculines et qui a représenté l’AVFT en (…)
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