Cher frère, Merci de m’écrire. J’apprécie la sincérité de cette lettre, son ton fraternel et sa franchise. Permets-moi d’en faire autant. J’apprends sous ta plume que ton père est mort d’un cancer de l’amiante à 63 ans. Allah irahmou. Et qu’il n’a pas eu le temps de profiter de sa retraite comme (…)
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